Collection Échangisme. Mon Tonton M’Entraine Dans Son Monde Libertin (1/3)

• Tonton, tu aurais pu attendre de te dire d’entrer, tu me trouves dans une situation très inconfortable.
• Au contraire, je suis content d’être entré, je vois que tu me ressembles plutôt que les culs serrés que sont tes parents.
Claire, tu sais très bien, je te l’ai déjà dit deux fois depuis que je suis revenu des États-Unis, Tonton, ça fait vieux et j’ai à peine 30 ans.
• Comment veux-tu que je t’appelle, parrain ?
• Quelle horreur, si je suis ton parrain, c’est qu’à ta naissance, tu as eu le droit qu’un vieux con de curé te fasse couler de l’eau sur ton front.
Ce sont tes parents qui se sont senti obligés de me nommer ton parrain.
• Comment veux-tu que je t’appelle, j’ai toujours dit « parrain ».
• Freddy comme tous mes amis.
Mais dit-moi, il y a longtemps que tu t’enfiles ce morceau de silicone vibrant dans la chatte ?
Qui t’a dépucelée ?
• Parrain, pardon Freddy, tu me gênes, déjà que tu sois assis sur mon lit voyant mon gode bien profondément enfoncé en moi, c’est plutôt gênant.
Si tu veux le savoir, il y a deux ans, je l’ai commandé sur Internet, fais livrer chez une copine et c’est lui qui a brisé mon hymen.
Tu connais mes parents !
• Oh ! que oui, je connais tes parents, c’est même pour éviter de leur ressembler que je suis parti pendant plus de six ans aux États-Unis où j’y ai bourlingué tout ce temps.
• « Pour éviter de leur ressembler », que veux-tu dire, papa et maman sont un couple uni !
• Claire, que tu es puéril, en façade, tes parents sont un couple heureux, mais ils vivent en cachette l’un de l’autre et aussi surtout des autres.
• Qui peut te faire dire ça, maman est fidèle à papa qui le lui rend bien.
J’ai assez souffert de leur éducation rigoriste.
• Nous y voilà, pourquoi ton père a-t-il épousé ta mère, Claire ?
• Car ils étaient fous d’amour et que pour m’avoir, ils se sont rapidement mariés.
• Sais-tu combien de temps a duré la grossesse de Joelle ?
• Je suis une prématurée de sept mois au lieu de neuf.


• Nous sommes en plein dedans, je vais t’apprendre qu’à sept mois, l’affreux petit canard que tu étais a rarement un poids de 3 kilos 400.
Tes parents ont été présentés par leurs parents qui voulaient les marier dans l’intérêt de leur famille.
• J’ai peur de comprendre, maman , s’est fait engrosser par un autre et mes grands-parents que j’adorais, lui ont trouvé un couillon pour l’épouser !
• Là tu as tout faux, tes parents sont bien ton père et ta mère.
À leur époque, les godes étaient plutôt rares et c’est la queue de ton père qui s’est dangereusement rapproché de la chatte de ta mère et qu’ils t’ont mise au monde.
C’est sur le siège avant de leur voiture que cela s’est fait.
• Comment le sais-tu, ils te l’ont dit ?
• C’était inutile, quel âge à ton père et ta mère, ils sont nés la même année ?
• 38.
• Tu as quel âge ?
• 18 dans deux jours, samedi.
• Ils avaient donc 20 ans ou à peu près.
J’ai dix ans d’écart avec ton père, j’avais donc 10 ans et j’étais là !
Ils pensaient que je dormais au retour du parc de Thoiry et ils se sont arrêtés dans la forêt et c’est là que j’ai vu ta mère valser sur la queue de mon frère.
Ils devaient être vierges tous les deux, car ça a duré 3 minutes tout au plus avant qu’il crie sa jouissance.
Tu as été conçue à ce moment, car Joelle a dit.

« Tu es con, tu avais dit que tu te retiendrais, j’en ai plein partout, tu assumeras les conséquences, je t’avais dit que mes parents sont de farouches opposants à la pilule. »

• Quelques semaines, plus tard, j’ai entendu crier lorsque tes parents sont venus avec ta mère, tu allais te pointer.
• Je comprends, ils les ont mariés en quatrième vitesse et je suis née prématurée pesant 3 kilos 4 !
• Tu y es, un mois plus tard, il était marié.
• Est-ce pour autant qu’ils ont un amour de façade, comme tu me le dis, ça a toujours été un couple uni !
• En façade, pour le monde, ton père saute sa secrétaire dans une garçonnière dont tu hériteras un jour et ta mère le proviseur de son lycée.

Ils sont amants depuis avant que je parte les uns et les autres.
J’espère que tu me crois Claire !
• Dis-moi pourquoi tu es parti ?
• Lors d’une fête, mes parents m’ont présenté celle qu’il pensait que j’allais épouser, une grosse fortune de France, mais laide comme un pou.
Laide comme toi tu pouvais l’être à douze ans lorsque je suis parti.
• J’étais laide !
• Non, tu étais une petite fille ressemblant plus à l’affreux petit canard et je retrouve un magnifique cygne noir !
• Un cygne noir ?
• Oui, lorsque je vois ta chatte, tu t’épiles ce qui est très bien, mais tes cheveux et l’ombre sont noirs.
Tu es comme ta mère, mais elle jusqu’à ce que je parte elle était très fournie.
• Tu as vu la chatte de ma mère, ta belle-sœur, mais dans quelle famille suis-je, je croyais que mes parents étaient des culs serrés !
• Ils le sont, avant de fuir cette famille qui voulait intenter à ma liberté, j’étais chez eux dans la même chambre qu’aujourd’hui.
Je suis passé devant la salle de bains, Joelle se lavait la chatte et je la voyais dans la glace, la porte étant mal fermée, c’est là que j’ai vu qu’elle avait un tablier de sapeur.
Enlève-moi ce gode, tu finis par me faire bander.
Soit, tu regardes ailleurs, soit, tu quittes ma chambre.
• Il existe une autre solution, regarde, c’est moi qui t’enlève ce gode que je remercie de t’avoir défloré et j’y mets mes doigts.
Tu vois ça te fait tout de suite de l’effet
• Mais Tonton, parrain, merde, Freddy, oui ça me fait de l’effet.
• C’est normal, ton clito a besoin de se libérer, comme toi tu dois te libérer de la dictature de tes parents, sinon d’ici peu, tu vas te retrouver avec un mari et trois gosses.
• Que veux-tu dire par dictature et trois gosses !
• J’ai attendu que tes parents partent à leur travail et leurs amants.
Je suis venu pour te dire que samedi pour tes dix-huit ans, je les ai entendu dire hier au soir que samedi lorsqu’ils t’emmèneront au restaurant, tout est organisé pour ton avenir !
• Oui, papa m’a prévenu, mais de quel avenir parles-tu ?
• Tout est arrangé, vous allez retrouver les Durant et leur fils Antonio, ce sera officiellement votre présentation en vue de vous marier.

Ils ont des vues de fusion de patrimoine dans le Gers.
• Les terrains de mes grands-parents maternels ?
• Oui, ils sont de là-bas et ont un terrain adjacent à celui de ta mère, il y aurait un projet d’implantation de supermarché sur cette surface et un gros paquet de fric si l’affaire se réalise.
Ça prend du temps pour se concrétiser et votre mariage sera un gage de loyauté entre eux.
• Quoi, il sacrifierait leur fille pour un paquet de fric !
• Comme les miens ont voulu me sacrifier il y a quelques années.
Pourrais-tu aimer Antonio qui m’est inconnu ?
• Pouah, un jeune puceau boutonneux, con comme un balai à chiotte.
Continu, je vais partir.
• Et moi, pense à moi, regarde, je bande, sors là, tu vas voir, c’est plus doux et chaud que ton gode.
• C’est mal, mais tes doigts commencent à beaucoup m’exciter, que je me sens dans l’obligation de te faire plaisir à toi aussi.
Tu promets, pas un mot à mes parents, s’il savait que leur fille est une dévergondée.
Mon dieu qu’elle est grosse.
• Et encire, je bande à moitié, lorsque je vois ton gode, c’est sûr, la différence est évidence.
C’est bien, bien dans ta bouche Claire, je vais faire de toi la reine des libertines.
Arrête, je risque de t’en mettre dans les amygdales, laisse-moi à mon tour te lécher la chatte.
Tu vois, être épilée à un avantage, tes amants lorsqu’ils te feront un cunnilingus, trouveront un terrain vierge sans avoir des poils venant dans leur bouche.
• Oh ! Tonton que c’est bon.
Inutile de lever la tête, je sais Freddy, non Tonton, je crois qu’il est difficile de changer ses...
Ah ! continue ta langue est divine mon clito est à la fête.
Ses habitudes, pour moi tu es et tu resteras mon tonton.
Tonton baise-moi, je veux sentir cette belle queue en moi, même si c’est mal, tu es le frère de papa, je veux t’appartenir.

Claire, fille de Joelle et Alexandre mes parents.
J’ai toujours eu un esprit libre contrairement à mes parents restant d’un grand classicisme.

Grâce à Freddy le frère de mon père, j’apprends que mes parents sont loin d’être aussi droits qu’ils semblent vouloir le faire croire.
C’est grâce à Freddy qui est aussi mon parrain que j’ai pris conscience de la vie lorsqu’il est parti il y a six ans.
Je me souviens encore, comme si c’était hier, des cris que j’ai entendus lorsqu’il a eu le toupet de dire à ses parents que le mariage qu’ils projetaient pour lui, il pouvait se le carrer au cul.
Je m’excuse de ces mots grossiers dans la bouche d’une jeune fille de 18 ans dans deux jours, mais ce sont les phrases exactes prononcées.
Tout ceci s’est terminé lorsque j’ai entendu la porte claquer et que le lendemain j’ai appris qu’il était parti faire sa vie aux États-Unis.
C’est à lui que j’en ai voulu pour deux choses.
La première et c’est normal à l’âge où la vie vous ouvre à la sexualité, c’est que j’étais amoureuse de Freddy et que j’étais persuadée que j’allais faire ma vie avec lui.
Une chose que j’omets de lui dire lorsqu’il me surprend mon olisbos au fond de ma chatte.
Lorsque je l’ai récupéré chez Olive ma copine, c’est que je lui ai donné un nom.
Et oui Freddy, c’est donc Freddy qui m’a dépucelé et qui me donne mon plaisir depuis ce jour et jusqu’à mes 18 ans que j’aurai dans deux jours.
La deuxième, c’est qu’au départ, mes parents parlant lors d’un repas à mes parents disaient que Freddy était parti un an aux USA et force est de constater qu’il y est resté 6 ans.
Six ans, à bourlinguer, épouser une vieille Américaine qui est morte il y a six mois.
Comme le dit Pierre Perret dans sa chanson, « tonton nous est revenu le cul bardé de millions. »
C’est à ce moment que je sens sa verge entrer en moi.
Freddy a rejoint Freddy.
Mais c’est là, seulement le début de mes aventures avec mon tonton, parrain et maintenant doublement amant.
Je vous raconterai la suite dès demain...

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